samedi 6 décembre 2008

201. Le contrat.

Il rêve,
Et il lui faudra du temps pour se réveiller.
Devenu comme l'ambassadeur d'un monde parallèle,
Le messie d'une faille temporelle,
Il rêve...
Mais laissons-le se trouver.
Au coeur d'une bataille sans fin,
Il en vient à se demander où se situe le bien...
Faut-il encore pleurer ?
Les lois ne sont plus les mêmes,
Elles changent et sèment une petite poignée de problèmes,
Veut-il vraiment nous retrouver ?
Ses joies prennent forme dans ce train,
Qui pourtant inerte, l'éloigne du quotidien.

Il rêve,
La neige sous ses habits se glisse,
Et ses dents, hors de contrôle, crissent.
Il n'a pas peur, non.
Tourbillon glacial de lumières blanches,
Il découvre au fur qu'il se penche,
Qu'il est possible de jouir encore,
Quand bien même JE suis en désaccord.
...
Mais la corde lisse nous accorde sur cet accord qui, encore une fois, me décore,
Et si je semble être absent, c'est qu'ensemble, pour le moment, nous agissons d'un commun accord pour l'apport au sein du corps de toute ma poésie imaginaire d'une touche de fantaisie.


Merci.

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