Il n'y a qu'un pas vers la réussite :
Porter l'étendard quand la guerre est finie,
Frapper à mort le bourreau de ces peurs,
Se frayer un chemin vers la prospérité,
Et dans un soucis de perfection, s'abonner aux rêves.
dimanche 22 février 2009
lundi 2 février 2009
205. Rendez-vous.
La porte.
Le pied devant, l'âme à l'arrière.
Des larmes de sang, des gouttes de verre.
Un cri d'enfant, un de moins sur Terre.
L'espace d'un instant tout était plus clair.
Le bon moment, l'aube sur la clairière,
La porte, lentement, revient en arrière.
La fenêtre.
C'est l'espace-temps, le ciel, l'air,
Des nuages en rang, le chemin de lierres,
Les arbres blancs, le sol de pierres,
L'enfant tremblant, le sein d'une mère.
Espoir d'antan, bien loin derrière,
La fenêtre, le vent, les volets se resserrent.
Et moi.
Roi dans l'élan, semblant bien faire,
Emoi tantôt présent, tantôt imaginaire,
Etat béant, esprit bien fier,
Choix repoussant, la réussite trop chère.
Voix sur ce banc des sons d'hier,
Et moi, dansant sur les traces de mon père.
Le pied devant, l'âme à l'arrière.
Des larmes de sang, des gouttes de verre.
Un cri d'enfant, un de moins sur Terre.
L'espace d'un instant tout était plus clair.
Le bon moment, l'aube sur la clairière,
La porte, lentement, revient en arrière.
La fenêtre.
C'est l'espace-temps, le ciel, l'air,
Des nuages en rang, le chemin de lierres,
Les arbres blancs, le sol de pierres,
L'enfant tremblant, le sein d'une mère.
Espoir d'antan, bien loin derrière,
La fenêtre, le vent, les volets se resserrent.
Et moi.
Roi dans l'élan, semblant bien faire,
Emoi tantôt présent, tantôt imaginaire,
Etat béant, esprit bien fier,
Choix repoussant, la réussite trop chère.
Voix sur ce banc des sons d'hier,
Et moi, dansant sur les traces de mon père.
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