lundi 9 juillet 2007

32. Tel est ton nom.

D'un pas lent, je te rejoins.
Dans un second temps, j'admire tes mains.
L'instant d'après, je les tiens.
J'aurais voulu que cela ne cesse jamais.
Tu me chuchotes que tu dois partir,
Mon amour transforme ta douleur en sourire,
Il voile cette tristesse, aurais-je pû mériter pire ?
J'aurais aimé que cela ne cesse jamais.
Findley, poète et réaliste, écrivait ces beaux vers :
" Le temps est un fou, qui répand la poussière. ",
Ma vie est un brouillard, où va ma galère ?
Accompagne-moi jusqu'au bout, s'il te plait.
Je t'admire, tu es belle, mais tu dois me quitter,
Tu te débarasses de mon emprise, la folie t'a submergée,
J'aurais voulu que cela ne cesse jamais,
Ô poésie, chuchote-le moi, quel est ton secret ?

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